Globalement, les patients ont déjà leur neurologue de suivi, ils n'ont donc pas besoin de suivi complémentaire.
Cependant, quand ils ont des problématiques un peu spécifiques, nous pouvons leur proposer un suivi intermédiaire avec l’Infirmier de Pratique Avancée, avec accord de leur neurologue.
Sinon, pour les participants au groupe qui n'ont pas de suivi, à ce moment-là on les oriente vers notre filière, avec un binôme neurologue/IPA.
Enfin, dans le cadre du suivi, nous insistons aussi sur la place des consultations semi-urgentes.
Ces consultations, sont un dispositif de l’ARS [Agence régionale de santé] validé depuis 2022. Le principe est - quand un patient parkinsonien a une problématique urgente, pour laquelle spontanément il se présenterait aux urgences - d'appeler notre numéro (une « hotline », en quelque sorte) pour qu'il évite de passer par les urgences et qu'on puisse répondre par une consultation rapide, en général dans la semaine. Ceci pour pouvoir le prendre en charge et éviter justement les passages aux urgences et les effets que ça peut avoir sur les patients.
Les propos tenus sont sous la responsabilité de leur auteur.
JT déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt en lien avec le texte publié.
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ENV 33